lundi 13 août 2012

Rencontre entre les désirs de deux époques

Première production du Théâtre Elfik aux Journées de la Culture 2010.



Titre : Rencontre au coeur des désirs de deux époques... 

"L'expression du désir humain a-t-elle réellement évoluée?

L’amour courtois est-il le vestige d’un passé révolu ou retrouve-t-il son alter ego dans la société actuelle?  "


Esther Hardy ( Béatrice) et Karine Beauchamps (Raphaëlle)

Esther Hardy a coécrit cette pièce avec Karine Beauchamps. 

 Préoccupées par les relations amoureuses actuelles chez les adolescents, les deux comédiennes ont créé cette pièce afin d‘offrir une alternative aux futurs amoureux. La pièce se résume ainsi : de leur univers respectif, dont la différence est à la fois fascinante et déstabilisante, les personnages expriment leur vision de l'amour et de la sexualité. Ils se demandent si l'expression du désir humain a réellement évolué. Si l’amour courtois est le vestige d’un passé révolu ou s'il retrouve son alter ego dans la société actuelle? Conscientes du clivage entre leurs univers, deux fées d'époque différentes se frottent à la question.

Les deux rencontres ont furent un spectacle interactif qui se sont terminés sur un échange d’idées avec le public cible adolescents. Chacun a pu y trouver une émotion, des repères auxquels s'identifier, ainsi que de nouvelles notions qui ont provoquer des réflexions et des discutions passionnantes.




1 commentaire:


  1. Commentaire de M. Guy Allard, commissaire à la Commission scolaire:

    Madame Hardy,

    Les réactions des enseignantes auront surement l'avantage d'être disons celles des utilisateurs, soit les élèves mêmes. À titre de grand'parent, éducateur de carrière et commissaire, j'ai été emballé par la formule.. Elle apporte la touche culturelle, littéraire des deux époques et le bi-culturalisme dans lequel baignent nos adolescents d'ici. (...)

    Mais voilà , souhaitons que votre représentation puisse compenser l'absence du cours formel de sexualité. Je complèterai ce texte par un appel sous peu.


    Au plaisir de vous converser,


    Guy Allard



    RépondreSupprimer